mercredi 24 novembre 2010

Voyagez avec les Aigliers Kazakhs

Eurokaz, association spécialiste du Kazakhstan, a décidé de promouvoir un voyage touristique à cheval, qui vous permettra de découvrir une partie de la culture kazakhe. Notre partenaire vous fera découvrir les très renommés « Berkoutchi » Kazakhs, qui sont de redoutables chasseurs capturant leur gibiers grâce à leurs aigles qu'ils ont réussis à dressés par de longues années de travail. Vous découvrirez à cheval le majestueux massif de l'Altaï, berceau du monde turc. Vous partagerez vos repas avec vos hôtes Kazakhs, écouterez le son de la célèbre Dombra des steppes et dormirez sous la yourte.

 

Ce voyage se déroulera dans le massif de l'Altaï, coté Mongolie. Il marie habilement passion du cheval, ivresse des steppes, et découverte d'une culture ancestrale. À cheval, aigle au poing, les Kazakhs de l'Altaï bravent l'hiver pour chasser le renard, la marmotte, le loup. Ce voyage d'exception vous invite à ce spectacle hors du temps. Chaque jour, vous accompagnez les Kazakhs à cheval pour assister à la chasse à l'aigle dans des paysages émouvants de beauté et de silence. Une expérience rare et inoubliable !

 

 

Points Forts :

o Voyage complet dans les espaces sauvages immenses et incroyablement variés : crêtes minérales, lacs et rivières gelés...
o Chevaucher un cheval de légende, roi des steppes
o Partager le quotidien des cavaliers Kazakhs qui ont maintenu dans l'Altaï la tradition de la chasse à l'aigle, bien plus vivace que dans leur patrie historique du Kazakhstan voisin.
o Accueil chez l'habitant à midi et logement sous yourte confortable tous les soirs.
o Un accueil "en amis" par cette équipe Kazakhe avec laquelle notre partenaire randonne depuis près de 15 ans !

 

Informations pratiques :

• Chevaux kazakhs de petite taille, dociles et sociables, énergiques et résistants, adaptés aux conditions climatiques. Sellerie cosaque.

• Logement en yourtes (3 à 4 personnes par yourte) chauffées (matin et soir, possibilité de recharger le feu pendant la nuit) équipées de lits et de matelas. Possibilité de se laver chaque jour avec un peu d'eau chaude dans la yourte chauffée. Hôtel local à Olgyi et *** à Oulan Bator.

• Niveau équestre : Il faut être à l'aise à cheval à toutes les allures en terrain accidenté. Il faut savoir adapter sa position à cheval au terrain (équilibre pour soulager les chevaux en montée).

• La randonnée est constituée de 3 à 12 cavaliers.
• Un accompagnateur français de notre partenaire se joint au groupe au départ de Paris à partir de 7 cavaliers.

Date :du 13 au 26 février 2011

Coût par cavalier : 3570 € TTC

 

Renseignements et inscriptions :

Si vous souhaitez des renseignements complémentaires, posez vos questions par mail à aiglierskazakhs@eurokaz.org ou par téléphone au 06.83.35.45.02

 

PROGRAMME

 

J1 : PARIS - OULAN BATOR - - AVION
Départ de Paris pour Oulan Bator, capitale de la Mongolie, avec escale à Moscou (décalage horaire + 7 h).

J2 : OULAN BATOR - - HÔTEL
Arrivée à Oulan Bator en début de matinée. Repos à l'hôtel, puis visite de la ville et découverte du très riche passé culturel et religieux de ce peuple qui au XIIIe siècle a régné sur presque toute l'Asie (palais d'hiver du Bogdo Khan d'architecture chinoise comme le monastère de Gandan, temple tibétain, musée des Beaux Arts, etc.). Dîner au restaurant et nuit à l'hôtel.

J3 : OULAN BATOR - OLGYI - TOLBO NUUR - YOURTE
Réveil matinal et transfert à l'aéroport. Vol intérieur Oulan Bator - Olgyi. Accueil par notre équipe locale à Olgyi à la pointe extrême ouest de la Mongolie (4H de vol environ, 100km). Après 4 heures de pistes ou de lacs gelés, au détour d'un vallon vers le grand lac de Tolbo Nuur, vous rejoignez les yourtes blanches : votre campement de base. Vous êtes au coeur de l'Asie centrale ! Le détail des étapes n'est pas défini à l'avance. Les randonnées quotidiennes sont décidées la veille entre les Birkutchis (chasseurs à l'aigle). Le programme ci-après, issu du récit d'un cavalier, est donc donné à titre indicatif.

J4 : REGION DE TOLBO NUUR - 4 à 5H à cheval - YOURTE
Rencontre avec votre chef d'expédition Kazakh et les nobles « Birkutchis », chasseurs à l'aigle. Attribution des chevaux, venus du campement voisin. Très vite nous sommes en selle et emboîtons le pas aux aigliers. Début de 9 jours d'immersion totale dans l'Altaï et de chevauchées quotidiennes en étoile dans les vallées et les montagnes des environs. Chaque jour, un petit-déjeuner copieux et le midi, un repas chaud partagé avec des familles kazakhs sédentarisées pour l'hiver dans de minuscules hameaux de 2 ou 3 foyers. Chaque soir, un repas sous la yourte qui peut se terminer par des chants Kazakhs accompagnés de la dombra (instrument à cordes).

J5 : REGION DE TOLBO NUUR - 4 à 5H à cheval - YOURTE
Descente vers la rivière pour faire boire les chevaux. La rivière est gelée, mais les chevaux habitués et ingénus ont chacun leur technique pour fendre la glace. Nous reprenons ensuite de l'altitude. Les silhouettes altières se détachent sur les crêtes, la roche est rouge, le ciel est bleu, nos chevaux grimpent vaillamment. À plusieurs reprises, nous nous arrêtons sur des belvédères naturels découvrant des panoramas géants.

J6 : REGION DE TOLBO NUUR - 4 à 5H à cheval - YOURTE
Montée à cheval pour rejoindre les crêtes. A notre arrivée, les aigliers décapuchonnent les rapaces tout en serrant dans leur gant les jets, lanières de cuir que les oiseaux ont autour du tarse. Les regards conjugués des oiseaux et des cavaliers fouillent les espaces déployés. En contrebas, un ou deux cavaliers cherchent à déloger lapin, renard, marmotte, loup… L'aigle s'envole, déployant ses 2,30m d'ailes vigoureuses. Les Birkutichis s'élancent à cheval à leur rencontre, dégringolant au galop la pente audacieuse. Les aigles ont alors pour mission de clouer leur proie au sol avec leurs serres puissantes. Ils l'enveloppent de leurs vastes ailes sans abîmer la fourrure.

J7 : REGION DE TOLBO NUUR - 4 à 5H à cheval - YOURTE
Chevauchée le matin sous un ciel bleu profond. Les montagnes de l'Altaï, dénudées par les caprices du vent parfois violent, laissent apparaître des éboulis rocheux multicolores, sépia, brun, mauve, presque rouge. Dans un creux de vallon abrité, la halte du midi nous conduit dans un hameau de deux ou trois maisons basses en rondins et torchis, avec de petites bergeries et corrals. C'est l'habitat hivernal de quelques familles kazakhes. Nous sommes accueillis avec un bol de thé au lait fumant, les beignets et l'aarul, un morceau de fromage sec et nourrissant. Puis c'est le repas : on festoie, on échange des points de vue, on parle de l'hiver, du terrible dzud, sécheresse et froid extrême conjugués, qui décime les troupeaux, de la traite des juments, de la chasse au loup.

J8 : REGION DE TOLBO NUUR - 4 à 5H à cheval - YOURTE
Départ lumineux dans un air glacé d'une pureté totale. Les chevaux semblent se réjouir de ces escapades vers les crêtes hérissées, déchiquetées comme des dentelles par le gel impitoyable. La neige, rassemblée dans les creux, crisse sous les sabots et révèle parfois le passage d'un renard ou même d'un loup très près du camp. Souverain, le mont Tsengel, 3943 m, le plus haut sommet de la région, irradie de son magnifique dôme de glaces immaculées. En dépit du grand froid, les troupeaux continuent à chercher leurs pâturages dans les fonds de vallée où subsiste une herbe sèche. Chevaux, moutons, chèvres et yacks ont une épaisse fourrure naturelle mais ceux qui ont le plus de prestance sont les fameux chameaux de Bactriane : une toison abondante et deux bosses dressées font penser à quelques animaux préhistoriques, mais de près leur regard est d'une telle douceur qu'ils deviennent des peluches géantes.

J9 : REGION DE TOLBO NUUR - 4 à 5H à cheval - YOURTE
En selle pour une nouvelle journée avec les Berkoutchis. L'Altaï est le massif le plus élevé de la Mongolie avec plusieurs sommets dépassant 4 000 m. La randonnée se déroule entre 1 800 et 2 700 m dans des paysages particulièrement vastes et grandioses, sertis de sommets enneigés. La montagne aride et peu boisée déploie une palette surprenante de couleurs minérales ocre, crème, bronze, carmin, violine qui rappellent le Tibet. De crête en crête, nous guettons le gibier, les Berkoutchis lâchent les aigles qui s'élancent vers leur proie. Aujourd'hui l'aigle de Dalai-Khan a capturé un chat sauvage à la toison douce et magnifique.

J10 : REGION DE TOLBO NUUR - 4 à 5H à cheval - YOURTE
Nous franchissons le miroir bleu d'une rivière gelée qui dessine à travers la steppe un large ruban de méandres lumineux. Chaque cheval a sa technique pour aborder cette lisse : depuis le poser délicat et circonspect de chaque pied sans faux-pas jusqu'à la perte de contrôle totale des quatre pieds ! La plus originale est la curieuse technique du "poser-glisser". Les cavaliers à pied à côté de leurs chevaux ne déméritent pas non plus. En fin d'après-midi, après avoir chauffé la terre toute une journée, le soleil dessine de grandes ombres au fond des vallées. L'air est presque tiède et nous nous attardons volontiers sur les crêtes avant le retour aux yourtes. En soirée, la chaleur du poêle, un repas réconfortant et quelques rasades de vodka.

J11 : REGION DE TOLBO NUUR - OLGYI - 4 à 5H à cheval - HÔTEL
Départ dans une aube glaciale pour une dernière demi-journée à cheval. Notre haleine se cristallise en paillettes de glace. Puis à l'instant où le soleil a surgi, nous chevauchons au rythme des chants traditionnels kazakhs à la gloire des aigles et de la montagne. Porté par l'air vif, les chants emplissent toute la vallée... D'autres chasseurs à l'aigle nous rejoignent, formant une escorte magnifique de 5 ou 6 cavaliers, aigles au point. En milieu de journée, adieu à notre équipe et aux chevaux. Trajet jusqu'à Olgyi (environ 5H de route), nuit à l'hôtel.

J12 : OLGYI - OULAN BATOR - - HÔTEL
Transfert à l'aéroport d'Olgyi et vol retour sur Oulan Bator. Installation à l'hôtel, puis spectacle de musique et danses mongoles. Dîner au restaurant.

J13 : OULAN BATOR - - HÔTEL
Visite de la ville et derniers achats pour ceux qui le souhaitent. Cette journée sert de battement selon les rotations de vol établie par la compagnie et en cas de retard ou d'annulation de vol la veille depuis Olgyi (fréquent l'hiver en raison du climat).

J14 : OULAN BATOR - PARIS - -
Transfert à l'aéroport et vol retour pour Paris. Arrivée à Paris dans l'après-midi.

 

 

 

 

lundi 19 avril 2010

En bonne route.

...

Le Kazakhstan offre cet « autre chose », rompt sans conteste la monotonie des voyages touristiques. Comment ne pas être fasciné par ce pays qui a le culot des ambitions démesurées ? Comment ne pas être touché par cette vingtaine de nationalités échouée sur ce territoire par le bon vouloir d'un Staline voulant faire passer le goût du nationalisme à toute peuple réticent au communisme ? Et ces paysages qui n'arrivent pas à laisser l'œil malgré des horizons interminables ? Le manque de lieux touristiques incite l'égaré à échouer dans les bras d'inconnus farfelus, entrepreneuse de force, rappeur néo-bourgeois, businesswoman remarquable, famille kurde complice et joueuse face au destin. Ce ne sont pas simplement des rencontres qui m'ont « amusé ». Aya qui m'offre une impro à minuit passé dans la rue, cette famille kurde qui persiste à me servir à manger contre mon gré, touchée par ma maigreur ou Ayila qui me déclare spontanément au téléphone, par simple amitié débridée, que je lui manque déjà alors que je suis dans le train depuis seulement quelques heures, m'ont sincèrement touché.

Si le voyage continue de m'interpeller de la sorte, je n'ai aucune raison de l'interrompre.

19 avril 2010 par cortinopolo

dimanche 18 avril 2010

Le Kazakhstan ? Mais… pourquoi ?

Personne au Kazakhstan ne comprend pourquoi je visite leur pays. Absolument personne. Tout le monde cherche une raison cachée à ma présence et ne se satisfait de ma réponse pourtant fort simple : « Ben… Touяist ! »

Il y a tout d'abord ceux qui estiment que la seule raison valable de mon voyage est le « business », et juge d'une moue insatisfaite mes protestations soutenues. Ils constituent la grosse majorité de mes interlocuteurs. J'avais déjà eu un avant-goût de cette incompréhension en Ouzbékistan. Mais je mettais leur jugement hâtif (« Kazahkstan, no good ») sur la jalousie des toujours pauvres sur les nouveaux riches. Ce sentiment est en réalité partagé par les Kazakhes eux-mêmes. Voyager dans leur pays pour se morfondre dans la douceur des paysages mélancoliques de la steppe infinie, et non pour exploiter le pétrole ne semble pas envisageable dans leur esprit.

Il est vrai que le tourisme est inexistant dans le pays. Je n'ai rencontré quasiment aucun touriste occidental. Juste deux Hollandais dans la steppe, un couple d'artistes venus chercher l'inspiration dans le coin.

Et il y a ceux qui, évidemment, se croient plus malins que les autres à estimer d'un air complice que ce sont les sentiments et non les intérêts qui régissent le monde. Je regrette mais je n'ai ni femme ni enfant au Kazakhstan, bien que la possibilité se soit présentée. Dans le même ordre d'idées, un chauffeur de taxi, à renfort de grands gestes obscènes, a eu le culot de me demander si je venais ici pour aller aux putes, tout simplement. Non plus. Dois-je m'en excuser ?

Sans oublier ceux qui comprennent, à la rigueur, que je vienne à Almaty, l'ancienne capitale, vivante, dynamique, surplombée de majestueuses montagnes, ou à Astana, la nouvelle capitale délurée que je m'apprête à explorer, mais pourquoi, bon sang, pourquoi être resté si longtemps à Chymkent et aux environs ? C'est une ville sans intérêt, habité de « Mumbets » (de « pecnos ») !

Non vraiment, je fais tâche. Je suis le mystère de la tâche qui ne s'en va pas, même au lavage des raisons classiques de l'argent et du cœur. Et pas moyen de mettre la main sur des cartes postales dans ce pays ! Pour une fois que j'ai besoin de recourir aux services abrutissants du tourisme idiot, il n'y a plus personne, c'est un comble !

Le Kazakhstan est décidément un pays plein de surprises. Elles sont d'autant plus savoureuses que je suis seul à les goûter, tout seul dans mon coin, comme un garnement ravi de sa toute dernière connerie.

Le 18 avril 2010 par cortinopolo

mardi 13 avril 2010

Air Astana passe en quotidien sur Paris-Astana via Francfort

A compter du 1er juin prochain, la compagnie aérienne kazakhe Air Astana desservira la capitale du Kazakhstan Astana, en vol quotidien depuis Paris via Francfort. A noter : Le préacheminement depuis Paris avec la Lufhtansa.
"L'augmentation de la fréquence répond à une demande sans cesse croissante vers cette destination en plein développement, plus particulièrement pour les voyageurs d'affaires. Par ailleurs, une correspondance immédiate sera possible vers Almaty et tout le réseau domestique d'Air astana.", souligne la compagnie.
Carine Turz : par.reservations@airastana.com
Sur www.tourmag.com le 13 avril 2010

mardi 6 avril 2010

Les blogs des Expats

Les Blogs des expats sont pleines de bonnes idées et de bons conseils. Ils vous permettent souvent de voyager au Kazakhstan sans bouger de chez vous. Contrairement aux brèves touristiques qui se rapportent plus de l'aventure, les blogs des expats rentre plus souvent dans l'intimité de la vie quotidienne des kazakhstanais.

Eurokaz a donc décidé de vous donner les liens de ces blogs, qui nous l'espérons vous fourniront de précieux renseignements. Si vous connaissez des blogs qui n'apparaissent pas dans cette page, merci de nous les signaler à kaztourisme@eurokaz.org.

mardi 15 décembre 2009

Cours du Tengé


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EUR / KZT

lundi 2 novembre 2009

Almaty, ville imprégnée par la présence russe

« Vous aimez Almaty ? » La question est revenue souvent, lors des contacts avec des Kazakhstanais, comme s'ils avaient des doutes sur l'attrait de l'ancienne capitale qui a été remplacée par la ville nouvelle d'Astana, au nord du pays. Mais qui demeure son centre économique et culturel.

Grande, verdoyante, avec de nombreux parcs, Almaty aux allures de ville russe de province a été marquée par l'empreinte soviétique, avec quelques bâtiments imposants comme l'Académie des sciences ou l'ancien palais présidentiel transformé en mairie. Le nouveau palais, guère plus modeste, a été construit par Bouygues, avant le déménagement pour Astana. En revanche, il reste peu de bâtiments de l'époque tsariste, à part la cathédrale orthodoxe Zenkov, construite entièrement en bois.

Mais c'est aussi une ville moderne, avec des gratte-ciel situés au sud — avec les sommets neigeux en arrière-plan — dont la construction a été interrompue par la crise. L'absence de centre-ville, à part une rue piétonne, a de quoi déconcerter. Curieusement, les habitants se déplacent peu à pied, préférant circuler en voiture. Le litre de « super » se vend à 0,50 €…

Un coup d'œil au Musée national central permet de se familiariser avec l'histoire du Kazakhstan et les différents groupes ethniques — y compris les Allemands de la Volga — et leurs traditions. Une réplique de l'Homme d'or avec une superbe armure, daté du V e siècle avant J.-C., trône dans le hall. Mais les commentaires sont tous en russe, la langue officielle du pays, la plus parlée, alors que le kazakh est devenu langue d'État.

Non loin du musée, un des supermarchés de la ville, le Ramstore, n'a rien à envier à ceux d'Europe. On y trouve même du riesling de Barr… Les prix sont à l'avenant, même si les salaires sont moins élevés qu'en France. Environ 120 € en moyenne pour un fonctionnaire, mais dans le privé, certains salariés peuvent gagner 2 500 €. Des clients tout trouvés pour les nombreuses boutiques proposant des produits de luxe, notamment français. Pour se sentir en Asie centrale, mieux vaut se rendre au Bazar Zelyony, avec ses victuailles de toute fraîcheur et ses spécialités à base de cheval… ou quitter la ville qui n'est qu'une étape sur la route de la Soie.